D'un élève actif en classe aujourd'hui … au citoyen acteur des territoires demain
L'intercommunalité
Un pays développé
Le littoral d'un pays développé
Une île tropicale
La mondialisation
Un espace tropical
Les espaces proposés
Phase 3: Travail individuel sur les logiques de localisation L'élève travaille individuellement sur un espace imaginaire et cette fois aménagé (voir exemple proposé ci-dessous pour un "espace tropical"). Il s’agit de décrypter les logiques géographiques. On est toujours dans l’étude d’un espace fictif, prélude à un retour sur le réel car la finalité de ces simulations est bien évidemment le transfert du raisonnement sur les territoires au programme.
Extrait d'un espace corrigé
Extrait de la fiche individuelle à compléter
Comment mettre en oeuvre une simulation géographique ?
Accueil Le mot des géographes Christian Grataloup Gérard Hugonie Intérêt pédagogique Commande et contactStructurer une analyse autour des territoires produits par les élèves
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Phase 4: Comparaison organisée par le professeur avec des territoires au programme Le professeur organise alors le retour sur la réalité géographique en adoptant essentiellement une démarche comparative avec les territoires réels articulée par les choix magistraux des sujets d’étude. Deux attitudes intellectuelles sont alors à l’œuvre : la taxonomie (nommer, identifier, classer les éléments de fonctionnement de l’espace en soulignant les points communs et les différences) et la critique prospective (évaluation/compréhension des solutions adaptatives ou volontaristes qui produisent l’espace étudié, relevé des choix et des carences des aménagements, interrogations critériées sur les tensions entre le possible et le souhaitable). L’enseignant a ainsi toute latitude pour développer tels ou tels approfondissements ou interprétations en fonction du niveau de la classe. Les simulations mettent en œuvre, finalement, ce qu’on peut appeler une situation-problème. Après la simulation, le retour sur l'étude d'un espace réel en utilisant Google earth ou Géoportail est tout à fait pertinent. Les élèves réutilisent alors dans la lecture du paysage et l'étude de l'organisation spatiale les acquis liés à la simulation. Ils opèrent ainsi un transfert direct sur des lieux réels car ils ont intégrés des clés de lecture des activités humaines. On peut tout à fait envisager un parcours avec un fichier Kmz sur Google earth où les élèves découvriront des littoraux spécifiques dans le monde.